Face aux campagnes médiatiques de ces dernières semaines, les professionnels réagissent et sont quelquefois écoutés par les médias.
France2 évoque les « Dérogations sur les pesticides » en 2° partie de cet extrait du 13H du 10 mars.
La Gazette de l’ACTA du 7 mars 2011 publie de nouvelles réactions variées, souvent en profondeur, aux campagnes récentes d’ONG et de journalistes.
Suite à une conférence de presse de l’UIPP (voir communiqué de presse), la France Agricole, sous le titre « Les agriculteurs travaillent de mieux en mieux », publie une interview vidéo de JC Bocquet, UIPP
Novethic, sous le titre « les fabricants de pesticides se défendent contre « les attaques médiatiques » », expose les arguments de chacun. Agrapresse et Enviscope rendent également compte de la conférence de presse de l’UIPP.
Sous le titre « Un agriculteur dénonce un reportage bidonné sur son exploitation », La France Agricole cite abondamment le blog de D Sauvaître, arboriculteur, qui avait été attaqué par I Saporta (voir lesInfos1103)
Agriculture et Environnement apporte un « petit éclairage sur l’éclaircissage du pommier à l’attention d’Isabelle Saporta, et de tous ceux qui l’écoutent… Notamment MM Zemmour et Naulleau. »
Dans le Journal de l’Inattendu RTL (écouter le dernier quart de l’émission), Charles-Elie Couture (Star invitée…), A Cicollela (Réseau Environnement Santé) et JC Bocquet (UIPP) débattent des pesticides, et surtout de l’effet perturbateur endocrinien.
Sous le titre « La FNSEA répond à Isabelle Saporta », Alerte Environnement a mis en ligne un Débat lors du SIA 2011 entre I Saporta, journaliste et C Lambert, FNSEA. Trop bref, bien sûr. Mais surtout une conclusion journalistique (« L’une défend l’environnement, l’autre les agriculteurs… ») qui mériterait débat !
Lors du SIMA, B Géry (ForumPhyto) et JC Bocquet (UIPP), sans F Veillerette (MDRGF) qui devait également en être, ont participé à un débat « agriculture, alimentation et santé » organisé par Terre-Net.
Agri-Salon publie une interview de JP Beaudoin, consultant, sous le titre « La multiplication des messages « à charge » influence l’opinion, mais pas la consommation. »