Cet été, le JDLE (Journal de l’Environnement) doit être en manque de sujets consistants et va puiser quelques études universitaires américaines hors du commun.
« Pourquoi il faut craindre ET » (accès restreint) explique, certes avec une certaine distance non dénuée d’humour, que « trois chercheurs américains (université de Pennsylvanie et Nasa) ont imaginé, dans une étude (in English), ce que l’humanité pouvait attendre d’un contact avec une civilisation extraterrestre. »
ET ne sera pas forcément aussi gentil que le héros de Spielberg. Dans une des hypothèses émises tout à fait sérieusement les chercheurs émettent l’hypothèse que, « pour protéger les espèces naturelles menacées, la planète en réchauffement rapide et les océans qui s’acidifient, ils [les extraterrestres] ne décident d’éliminer l’espère la plus nuisible à l’équilibre écologique de la planète bleue: l’homme. »
Et de conclure : « Appliquant le principe de précaution à la lettre, les trois auteurs recommandent à leurs lecteurs de prendre quelques précautions: «Il est particulièrement important pour nous de réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Car la composition de l’atmosphère peut être observée depuis d’autres planètes». Et pour peu que les extraterrestres soient des lecteurs des rapports du Giec, nous avons du mouron à nous faire. »
« L’argent, c ‘est sale » (accès restreint) rend compte d’une étude d’une école de santé publique américaine portant sur… la contamination des billets de banque au bisphénol A (alias BPA), venant en particulier des reçus de banque ou de magasin. Avec ce conseil en conséquence et en conclusion : « évitez de lécher vos billets et de stocker les reçus avec vos coupures… » sans un seul mot sur le risque microbiologique !
On vit une époque formidable !