Prince de Bretagne, importante organisation de producteurs de légumes, a rendu public son rapport Développement Durable.
Dans la présentation qui en est faite dans Ouest France, Bruno Rebelle, ex-no 1 de Greenpeace France, qui travaille désormais avec les entreprises explique : « J’ai passé quatre mois à regarder cette structure. J’ai vu des femmes et des hommes impliqués dans leur territoire. (…) Les producteurs sont socialement responsables, et économiquement performants. »
L’article de La France Agricole est plus détaillé concernant les aspects environnementaux, et en particulier sur la question phytosanitaire : « Aucun des producteurs de Prince de Bretagne ne traite ces cultures par plaisir, surtout que ces traitements coûtent cher. Les techniques agricoles ont beaucoup évolué et le temps des traitements systématiques a laissé la place aux approches préventives et aux traitements de précision, seulement « en cas de besoin impératif » »
Consulter le rapport Développement Durable de Prince de Bretagne (3MO) dans son intégralité.
La protection des cultures est surtout abordée des pages 24 à 34, avec 4 grands chapitres :
– Limiter l’usage des produits phytosanitaires
– La protection biologique en plein champ
– La culture sous-abri
– 14 ans de production biologique