Sous ce titre, mais sans point d’interrogation, le Journal de l’Environnement (JDLE), met un titre quelque peu catastrophiste à un article équilibré rendant compte des difficultés de la traçabilité du fait de la mondialisation de l’alimentation.
L’étude scientifique de l’Université Notre-Dame (Indiana,USA), sur laquelle s’appuie l’article, montre que le problème principal est la diffusion potentiellement large et rapide de contaminants (bactéries, etc.).
Mais comme l’expliquent les auteurs de l’étude : « Notre étude ne prévoit pas une hausse des intoxications alimentaires, mais dans les cas où elles surviendront, il y aura immanquablement des retards dans l’identification de la source, en raison de l’enchevêtrement du réseau »
Un exemple important de ces retards et difficultés liés à la mondialisation de l’aliemntation : l’épisode Escherichia coli de 2011 en Allemagne…