Sous ce titre qui disculpe, au moins en partie, les producteurs, un communiqué de l’AFP circule dans quelques médias français, y compris Internet. Voir par exemple Sciences et Avenir et RTL.be
« Les producteurs n’ont pas été mis en cause », « la contamination vient peut-être des plants qui ont été importés de pays tiers », a expliqué Patrick Dehaumont, directeur général de la DGAL, lors d’une rencontre avec quelques journalistes.
Il précise toutefois que « L’enquête n’est toutefois pas terminée et il faudra attendre la prochaine récolte de fraises, au premier semestre 2014, pour avoir les résultats définitifs ».
Il aurait été utile de donner ces quelques éléments de prudence lors de la pseudo-crise créée par Générations Futures en juillet, ou lors de la conférence de presse que la DGAL a donné en septembre.
Mais, reconnaissons-le : il n’est jamais trop tard pour bien faire…
