Sous ce titre, Réussir Grandes Cultures évoque les recherches scientifiques menées avec la collaboration de l’INRA.
Avec les techniques modernes, de « marquage génétique » et de « séquençage à haut débit » entre autres, les scientifiques peuvent aujourd’hui avoir une vue d’ensemble, quantitativement et qualitativement, de la vie microbienne du sol. A des coûts relativement modeste.
« Le gain en précision des analyses s’accompagne de formations à la connaissance de la biologie du sol. » Les scientifiques en sont maintenant à former des prescripteurs sur les indicateurs biologiques du sol : des micro-organismes à la macro-faune, espérant ainsi le « développement des formations à la connaissance et à l’expertise de la biologie du sol pour les conseillers et agriculteurs. »
Objectif avoué : contribuer à la mise en place d’un conseil « agro-écologique » sur la gestion de ses sols.
Un beau projet scientifique. Et la démonstration vivante qu’en agriculture, la science un outil indispensable pour le respect de l’environnement.
Et cela va sans dire, mais cela va mieux en le disant : la vraie science, pas de la pseudo-science vitaliste à la sauce Bourguignon…
