Sous le titre complet « Ceci n’est pas une pomme….empoisonnée! Rapport d’étape de l’explication de gravure des pomiculteurs avec Greenpeace », Daniel Sauvaitre, président de l’ANPP (producteurs de pommes et poires) signe un article quelque peu ironique sur la posture de Greenpeace face à la demande juridique de l’ANPP pour obtenir réparation.
Quelques affirmations de Greenpeace dans le document qu’ils avancent pour leur défense sont pour le moins surprenantes.
Par exemple, pour Greenpeace, « L’ANPP ne peut pas sérieusement prétendre que ce rapport se voudrait objectif, informatif voire scientifique »
Oui, vous avez bien lu : Greenpeace écrit que son rapport sur « les pommes empoisonnées » n’est ni « informatif », ni « objectif », ni « scientifique »…
Autre exemple : Rappelons d’abord pour ceux qui l’auraient oublié, que le titre de leur rapport était « Pommes empoisonnées. Mettre fin à la contamination des vergers par les pesticides grâce à l’agriculture écologique ».
Ceci ne les empêche pas d’écrire pour leur défense : « L’objet de ce rapport n’est évidemment pas de dénigrer ni les qualités, ni les propriétés des pommes, et le titre ne laisse aucune place au doute sur ce point »
Comme le conclut Daniel Sauvaitre : « Vous avez bien compris très avisés lecteurs, pour Greenpeace « pommes empoisonnées » ne veut pas dire « pommes empoisonnées ». Et son rapport est bien bidon comme nous l’avons dit lors de sa parution.
Tout n’est qu’apparence et illusion en ce monde nous dit Greenpeace. N’empêche que son gros cube de Maggi dans le brouillon est bien indigeste et toxique. »
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