Sous ce titre, Planet.fr, « site d’actualité généraliste et d’information », fait une analyse comparée de la situation dans les différents Etats Membres de la certification européenne qui succède à la certification française, plus restrictive.
Sur le fond, la certification européenne autorise par exemple la coexistence de productions bio et non bio dans une même exploitation, ce que n’autorisait pas l’ancienne certification française. Pour les puristes, la certification bio est, de ce fait, « en partie vidé de sa substance. »
De plus, « tous les pays de l’Union Européenne dont l’Espagne ou l’Italie, n’appliquent pas les mêmes critères de contrôles. » Dans les pays à système moins rigoureux, les fraudes peuvent se développer.
Tout cela entraîne la multiplication de labels privés, imposant un cahier des charges plus strict. Selon Planet.fr, « c’est vers ces labels que les consommateurs ont intérêt à se tourner pour éviter de se faire avoir. »