(IPM Net News, in english) Dans son n°173 (in english), la très sérieuse newsletter IPM (Integrated Pest Managment) rêve d’une utopie : « Dans un article d’un obscur journal, un fonctionnaire dévoué a permis une avancée pour se débarrasser des mauvaises herbes que les humains ont vainement cherché pendant des années, peut-être des siècles. Fini le mal de dos à manier la binette sous le soleil brûlant ; finie l’application de désherbants chimiques potentiellement dangereux ; plus besoin de recherches laborieuses sur les agents biologiques ; fini le gaspillage des précieuses ressources de pétrole. La réponse, si l’on en croit ce concept encore inconnu mais révolutionnaire est : la musique. » Suit une description d’un monde idyllique où la musique est utile et largement utilisée contre les mauvaises herbes. L’humanité a dépensé tellement de sueur et de neurones pour réduire les dégâts des mauvaises herbes qu’elle a le droit de rêver. Mais est-ce que ça marche ?