Sous ce titre, Outremer 1ère publie une interview de Stéphane Le Foll. L’objectif du ministre de l’agriculture reste « qu’on se passe des épandages aériens ». Car, « dans l’opinion les questions de l’épandage de pesticides, ça passe très mal. »
Pour S Le Foll, « on a un atout avec la banane des Antilles : elle a aujourd’hui pris de l’avance sur la question de la durabilité. Il faut qu’on transforme cet atout en stratégie. »
En matière de solutions alternatives à l’épandage aérien, il insiste pour prendre « le temps pour que ce soit efficace et opérationnel. »
Enfin un discours réaliste ?