Sur le blog Imposteurs, sous le titre « François Veillerette sur Twitter: Mais non ! C’est : « Mais oui… » », Wackes Seppi démonte comment le militantisme de François Veillerette l’amène à persévérer dans l’erreur.
F Veillerette a posté un gazouillis de soutien à un article de Bio à la Une qui rapporte que « la chercheuse américaine Stephanie Seneff établit une corrélation entre l’utilisation croissante du glysophate [sic] (présent dans le pesticide Round Up) et le développement de l’autisme chez les enfants américains. »
Comme M Veillerette oublie de mentionner tous les articles qui démontrent l’incompétence et le parti pris de S Seneff sur le sujet et le manque flagrant de preuve, il se prend quelques retours de bâton sur Twitter.
Mais il ne lâche pas prise et il répond dans le style en 140 caractères particulier à Twitter :
« 1/2 @olivierpaysan @ChrRousseau @RemDumDum c vrai que l’article cité n’est pas une publication scientifique dont acte mais…. »
« 2/2 olivierpaysan @ChrRousseau @RemDumDum mais l’auteur à publié sur le sujet dans des revues scientifiques comme http://www.scirp.org/Journal/PaperInformation.aspx? »
Commentaires de W Seppi :
« Sauf que l’éditeur (de l’article mentionné par F Veillerette) […] est enregistré aux États-Unis d’Amérique dans le Delaware (paradis fiscal…) mais opère à partir de la Chine. Et il publie en open access (et non open source comme on a pu le lire dans la prose séralinienne) sur la base d’un financement par les auteurs.
Sauf que, selon l’éditeur, la revue Agricultural Sciences a un facteur d’impact fondé sur Google de… 0,67. Autant dire presque rien.
Mme Seneff a payé pour être publiée. Et M. Veillerette a pris cela pour argent comptant.
Mais qui paye en définitive ? C’est nous, le peuple français ! Car M. Veillerette est un de ces représentants autoproclamés – et cooptés par des gouvernements et des administrations qui méprisent les principes d’une démocratie représentative – de la « société civile » ».
Fin de citation. Qu’on ne peut qu’approuver…