Sous ce titre (in English), mais sans point d’interrogation, IflScience, site de vulgarization scientifique rend compte d’une recherche publiée dans le Proceedings of the Royal Society B. Les fleurs contribuent à la transmission de pathogènes (virus, bactéries, parasites…) entre insectes pollinisateurs.
L’article détaille les modalités de la recherche qui s’est appuyé sur des expériences de contamination par différentes souches de Nosema (champignons parasites) sur des abeilles et des bourdons.
Un des points importants est que cette recherche souligne : « les fleurs visités de nombreuses fois deviennent plus « sales » de parasites. Planter plus de fleurs pourrait fournir aux abeilles plus de choix, et ainsi la propagation pourrait être plus faible »
Cette recherche est un élément de plus montrant que l’essentiel de la santé des abeilles tient avant tout à la disponibilité de la ressource alimentaire. Pour sauver les abeilles : des fleurs, des jachères, des haies… Bref un paysage riche et diversifié.